Anne est une femme insouciante, rebelle, adepte de la fessée elle se complaît à provoquer son mari qui jamais n’oserait lever la main. Pour assouvir ses envies coquine, elle joue avec son chef de service.

Elle le surnomme chef de sévices, depuis qu’au hasard d’une conversation, elle lui a dévoilé qu’elle aime la fessée. Etant un adepte de ces pratiques et tous deux ne voulant pas prendre le moindre risque pour leur vie de couple, ils se sont accordés pour jouer uniquement autour de la fessée.

Régulièrement, pendant la pause de midi, elle passe à son bureau pour confesser ses fautes. Le scénario est sensiblement le même à chaque fois. Debout devant le bureau, tête baissée et mains croisée dans le dos, elle avoue ses erreurs ou manquements. Après l’avoir grondée, il lui intime l’ordre de faire le tour de son bureau pour venir chercher sa punition, une fessée OTK basique.

Attrapée fermement par le bras pour être couchée sur les genoux de son chef de sévices, sa jupe ou sa robe est relevée, sa culotte baissée pour que le fessier de la fautive reçoive la sanction devenue, entre eux, syndicale. Tous deux y trouvent un équilibre équitable. Il lui donne les fessées qu’elle aime, qui l’apaisent. Lui y prend, à chaque fois, un grand plaisir.

Aucun geste déplacé n’est jamais arrivé dans cette entente secrète particulière.

Le problème de Anne est sa gourmandise et le fait, qu’elle devient maso des fesses. Si bien qu’en fin de journée, elle est repassée voir son chef punisseur pour avoir sa « deuxième dose ».

Au lieu de se presser comme lors de leurs entrevues secrètes du midi, celle fois son chef de service prend son temps. Il n’a pas peur d’être surpris, les employés et le patron ont quitté l’entreprise. La fessée dure longtemps, Anne refusant de s’excuser pour avoir encore plus de plaisir. C’est lorsqu’il la relève pour la mettre au coin comme une gamine qu’elle s’aperçoit qu’il est 18 heures.

• Oh mon dieu, les e n f a n t s ! S’écrit la belle. Je dois aller les récupérer au sport, je vais être en retard.

Oubliant ses plaisirs coquins, la coquine saute dans sa voiture et roule comme une folle sans savourer la douce chaleur des fesses. Elle trouve même que son siège est inconfortable. Flashée à 80 kilomètres heure au lieu des 50, elle hurle sa rage avec des mots à faire rougir un bataillon de militaires, c’est dire.....

Un gendarme lui barre la route quelques centaines de mètre plus loin. Il commence donc par lui indiquer sa faute avant de la traiter de criminelle et de faire un contrôle du véhicule puis, sur son ordinateur, des papiers.

• Je vois que vous êtes une habituée des excès de vitesse.

• Hélas oui, le rôle d’une maman qui doit travailler pour nourrir sa famille l’oblige parfois à faire des heures supplémentaires à cause de cet enculé de président de la république qui nous..

• Pardon ? Un peu de respect s’il vous plait. mais vous pensiez à quoi là en roulant comme une folle, que vous alliez raccourcir les distances ?

• Je pensais à un putain de poulet que j’aimerai bien faire griller avec des petits oignons !

• Vous vous moquez de moi là ?

• Oui !

• Et vous osez me le dire ?

• Ben vous me le demandez, alors....

• Si cela vous amuse de jouer la rebelle, c’est votre problème sauf que votre dernier point va s’envoler et l’amende va être salée.

• Comment ça mon dernier point ?

• L’ordinateur n’a pas de secret pour moi. La loi m’oblige à immobiliser le véhicule et vous retirer le permis sur le champs.

• Ah non, pas ça ! Comment vais-je aller travailler ?

• Ca c’est votre problème madame, il fallait y penser avant !

• Il n’y a pas d’autres solutions ?

• Si, l’article 129-R du code de la route, indique qu’une punition peut être donnée sur place à la place du retrait du dernier point. Mais le poulet que vous aimeriez rôtir n’est pas très motivé pour faire une poule au pot....

• C’est une farce ?

• Non madame, cet article existe vraiment, je suis habilité à vous appliquer la punition si vous me présentez vos plus plates excuses pour votre manque de respect de ma personne....

• Et c’est quoi cette punition ?

• Une fessée publique. Cela est très pédagogique pour les autres conducteurs qui la verront.

« Ah, si ce n’est qu’une fessée » se dit Anne « où est le problème » ? Ce qu’elle ne peut savoir avec ses certitudes de rebelle et maso des fesses, c’est qu’elle n’aura aucun rapport avec celles de son chef de sévices préféré.

Elle présente donc ses excuses au gendarme affichant un sourire sadique. Même si l’envie d’exploser de rage la mine, la rebelle se contient pour ne pas aggraver son cas et perdre son permis.

Lui, il jubile à l’idée de la tannée qu’elle va recevoir puis aux suppliques qui seront celles « de la poule » dont le « pot » va vraiment cuire.

Anne signe donc le procès verbal puis son acceptation de la punition publique. Le banc à fessée est sorti de la fourgonnette et installé au bord de la route sous les yeux de la rebelle, soudainement moins sûre d’elle. Invitée à y prendre place. Anne se retrouve le visage face aux voitures et prend conscience qu’elle va être la risée des automobilistes.

Après l’avoir entravée avec les larges bracelets en cuir, le gendarme tout souriant vient placer la mentonnière servant à obliger la personne punie à regarder les automobilistes. Ceux-ci ralentissent déjà plus que de raison pour voir sa tête. Une sangle lui interdit de la bouger, elle devra assumer sa faute aux yeux de tous.

« S’il croit que je vais supplier et pleurer, il peut rêver » se dit Anne folle de rage.

• Bien, je vais donc procéder à la punition avec cet instrument. C’est une sorte de canne anglais incassable en kevlar. Elle a été désinfectée, vous ne risquez rien, enfin, rien que de souffrir ! Lui indique le gendarme en affichant un sourire sadique.

Quand il relève sa robe, Anne croit rêver, ou plutôt cauchemarder. Et lorsqu’il entreprend de la déculotter, elle hurle un « non » bien inutile.

• C’est aussi pour ça que vous êtes face aux automobilistes, le but n’est pas de faire voir votre intimité, il faut préserver la morale. Je vois que vos fesses sont déjà rouges, alors que je n’ai pas commencé, à priori vous êtes quelqu’un de vraiment pas sage. Bien, 30 kilomètres heure au dessus de la limitation, cela représente 30 coups auxquels se rajoute l’amende de 80 euros payables de la même façon. Cela représente donc 110 coups. Avec cet instrument, votre cul sera bientôt plus cuit qu’un poulet au four ! Ajoute le gendarme amusé.

Un trait de feu embrase soudain les fesses d’Anne. En prenant conscience de ce qui l’attend, elle s’affole, serre les dents et les mains pour ne pas crier. Le deuxième lui fait le même effet, sa gorge se serre soudain comme si elle ne voulait plus respirer. Comme elle ne crie pas, le gendarme oriente un peu plus bas sa canne, par inadvertance.....

L’impact sur la cuisse arrache aussitôt un hurlement à la punie tout en laissant une marque rouge qui ne tardera pas à devenir v i o l a c é e s.

• Désolé, cela arrive, il ne fallait pas bouger !

• Mais je n’ai pas bougée ! Hurle Anne .

• Excusez-vous !

• Non !

Le deuxième coup sur les cuisses brise aussitôt le mauvais caractère de la rebelle qui s’excuse réellement. Elle supplie le gendarme d’arrêter et de mettre fin à son calvaire. Elle promet aussi de ne plus jamais faire d’excès de vitesse.

• Je n’en doute pas un instant madame, surtout qu’il m’en reste 106 à vous donner.

Ayant obtenu ce qu’il voulait, le gendarme continue d’appliquer la sanction de manière plus modérée, sans quoi, c’est couchée sur le ventre dans une ambulance qu’elle quitterait les lieux. La douleur reste malgré tout très vive et se cumule à la honte de sa vie, les conducteurs amusés faisant des appels de phare ou donnant des coups de klaxon.

Les résolutions de fierté de la rebelle en pleine turbulences idéologiques finissent par s’envoler, alors qu’il n’est qu’à 80 coups de canne. Les fesses écarlates et en feu, Anne finit par éclater en sanglots entre deux cris.

Diplômé de sciences et vices, le gendarme s’amuse à présent à entretenir le feu, feu qu’il fait descendre sur les cuisses en dosant pour ne pas la blesser, mais juste assez pour rendre le siège du carrosse le plus inconfortable possible.

Lever les cuisses quand on est au volant fait aussi lever le pied droit....

La cruelle fessée punitive se prolonge encore plusieurs minutes. Sous un coup appuyé, Anne se met à uriner, l’humiliant encore plus. En effet, la perte du contrôle de son corps dans ses fonctions les plus intimes et en public lui fait prendre conscience de sa déchéance.

• Franchement, vous auriez pu vous retenir, j’avais presque terminé ! Ajoute le gendarme amusé.

Après les derniers coups très dosés, car la peau des fesses déjà bien abîmée menace d’éclater, Anne s’étonne de le voir enfiler des gants.

• A présent, il faut désinfecter les fesses trop cuites de la poule qui aurait du aller au pot avant sa fessée. Je vous invite à serrer les dents parce que cela va piquer !

Anne ne veut pas qu’il la touche mais, à présent cassée, elle ne se rebelle pas quand il fait un état des lieux sans tenir compte de sa pudeur. Soudain, son fessier prend feu, elle rue dans ses entraves en hurlant à s’en arracher les cordes vocales.

• Ce n’est que de l’Aniogel, rassurez-vous, cela va passer ! C’est un désinfectant à large spectre antimicrobien, vous serez tranquille.

Lorsqu’il la détache, Anne n’est plus qu’un pantin de chair. Il l’aide gentiment à se relever et même à remonter sa culotte tant elle est épuisée.

• Tenez buvez ça, c’est un petit remontant qui vous aidera à vous remettre avant de reprendre le volant ! Lui explique le gendarme en lui ordonnant d’attendre quinze minute pour reprendre la route.

Dans sa grande mansuétude, il l’accompagne jusqu’à sa voiture pour son dernier plaisir : la voir s’asseoir sur le siège.

Ce geste si banal est très amusant à voir après une fessée de ce type, le premier réflexe est de se relever, allez donc savoir pourquoi ?

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

Note de l’auteur : cela me fait soudain penser, qu’une fille de Fessestivites a une fessée en retard pour le même motif. (Réel et sérieux, il ne faut pas que je l’oublie cette déculottée)

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